Je rattrape mon retard et je visualise un maximum de films.
STAR TREK XI
Les Star Trek de la première série TV et le film de Robert Wise (ainsi que certains de la saga Ciné) étaient de véritables morceaux d'intelligence, parlant de l'Homme d'aujourd'hui tout en étant un gros plaisir Geek. Seule Battlestar a réussi à reproduire cette alchimie particulière. Le Star Trek d'Abrams se contente d'être un space opera joussif et sans temps mort. On espère que le second épisode aura un scénar plus poussé.
LA-HAUT
Un film qui met en scène un gamin embêtant, un vieux grochon, une créature préhistorique et un chien qui parle, qui nous fout la larme à l'oeil au bout de 10 minutes et nous met sur les rotules après 80 minutes de pur bohneur. On appelle ça du grand cinéma.
HIGHLANDER
Près de 10 ans après ma dernière vision, ce film qui a bercé mon enfance se prend un sacré coup dans la gueule, et pas seulement à cause du temps qui passe. Narration chaotique (on passe entre les époques tellement souvent que les personnages ne sont pas suffisamment développés et les ellipses narratives sont un peu chiantes à la longue), manque de cohérence et de détail sur les immortels, etc. Mais bon, c'est Highlander quoi. Ca vaut largement mieux que le deuxième épisode et la série TV. Pour une fois qu'un remake est justifié.
PRINCESS BRIDE
C'est bien (c'était la critique construite et exhaustive de votre serviteur).
THE CELL
Juste avant de voir The Fall (encensé un peu partout), je me devais de voir le premier essai de Tarsem en tant que réalisateur. Si le résultat n'est pas extraordinaire, il révèle cependant un talent pour l'image (et sa symbolique) plutôt bon. Ainsi, Tarsem parvient à composer des tableaux (magnifiques) purement cinématographiques (qui m'ont rappelé Kagemusha de Kurosawa) dans lesquels sont injectés des métaphores bibliques (Stargher devenant une sorte de martyre qui a pris sur lui les maux et travers de l'Homme). Mais The Cell souffre de deux défauts : J-Lo et l'histoire Policière. Si la chanteuse portoricaine n'est pas catastrophique dans le rôle de Catherine, elle peine à donner un semblant de profondeur et se révèle ridicule dans le final du film. L'histoire "réelle" souffre elle d'un défaut purement narratif et ne fait clairement pas le poids face à un univers fantastique relevant clairement de Dali. Tarsem a choisi son camp malgré les efforts de Vaughn pour nous faire croire à son personnage. Bref c'est bien, mais on pouvait en attendre mieux.
Les Star Trek de la première série TV et le film de Robert Wise (ainsi que certains de la saga Ciné) étaient de véritables morceaux d'intelligence, parlant de l'Homme d'aujourd'hui tout en étant un gros plaisir Geek. Seule Battlestar a réussi à reproduire cette alchimie particulière. Le Star Trek d'Abrams se contente d'être un space opera joussif et sans temps mort. On espère que le second épisode aura un scénar plus poussé.
LA-HAUT
Un film qui met en scène un gamin embêtant, un vieux grochon, une créature préhistorique et un chien qui parle, qui nous fout la larme à l'oeil au bout de 10 minutes et nous met sur les rotules après 80 minutes de pur bohneur. On appelle ça du grand cinéma.
HIGHLANDER
Près de 10 ans après ma dernière vision, ce film qui a bercé mon enfance se prend un sacré coup dans la gueule, et pas seulement à cause du temps qui passe. Narration chaotique (on passe entre les époques tellement souvent que les personnages ne sont pas suffisamment développés et les ellipses narratives sont un peu chiantes à la longue), manque de cohérence et de détail sur les immortels, etc. Mais bon, c'est Highlander quoi. Ca vaut largement mieux que le deuxième épisode et la série TV. Pour une fois qu'un remake est justifié.
PRINCESS BRIDE
C'est bien (c'était la critique construite et exhaustive de votre serviteur).
THE CELL
Juste avant de voir The Fall (encensé un peu partout), je me devais de voir le premier essai de Tarsem en tant que réalisateur. Si le résultat n'est pas extraordinaire, il révèle cependant un talent pour l'image (et sa symbolique) plutôt bon. Ainsi, Tarsem parvient à composer des tableaux (magnifiques) purement cinématographiques (qui m'ont rappelé Kagemusha de Kurosawa) dans lesquels sont injectés des métaphores bibliques (Stargher devenant une sorte de martyre qui a pris sur lui les maux et travers de l'Homme). Mais The Cell souffre de deux défauts : J-Lo et l'histoire Policière. Si la chanteuse portoricaine n'est pas catastrophique dans le rôle de Catherine, elle peine à donner un semblant de profondeur et se révèle ridicule dans le final du film. L'histoire "réelle" souffre elle d'un défaut purement narratif et ne fait clairement pas le poids face à un univers fantastique relevant clairement de Dali. Tarsem a choisi son camp malgré les efforts de Vaughn pour nous faire croire à son personnage. Bref c'est bien, mais on pouvait en attendre mieux.
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